Page:Feydeau - Le Bourgeon, 1906.djvu/70

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L’Abbé, bien bonhomme.

C’est que… je ne fume pas.

Le Marquis.

J’ai dit : "une… bonne pipe". C’est moi qui la fumerai.

Il va à l’abbé.

L’Abbé.

Ah ! A ce compte-là, je veux bien.

Le Marquis, apercevant Etiennette suivie de Guérassin qui pénètre dans le hall.

Oh !… Venez, monsieur le curé.

Il lui tend le bras et l’entraîne. Tous deux sortent par la droite premier plan.

Pendant ce qui précède on a vu Guérassin retirer son cache-poussière que Luc a déposé sur la table du hall.

Luc, une fois la sortie de l’abbé et du marquis, introduisant.

Si monsieur et madame veulent entrer, je vais aller prévenir madame la comtesse.

Etiennette. — C’est cela ! (Luc va frapper à la porte de Maurice et entre. — A Guérassin, après la sortie de Luc.) Dis donc ! Bien, ici ! pur ! noblesse vieille roche ! Ça se sent.

Guérassin.

Archipur !

Etiennette.

Archi !