Aller au contenu

Page:Feydeau - Le Mouchoir, monologue en vers, 1881.djvu/14

La bibliothèque libre.
Cette page n’a pas encore été corrigée


Moi, dans la stupeur générale,

Je prends mes jambes à mon cou,

Et sans plus tarder, je détale,

En courant, courant comme un fou !…


Mais aussi, par cette aventure,

Je suis bien guéri désormais !

Je ne chante plus, je le jure,

Jamais ! jamais ! jamais ! jamais !

Fausse sortie.

Pardon !… Pardon pour ma rentrée !…

Vous m’obligeriez bien, ma foi,

Si vous donnez une soirée,

De vouloir bien penser à moi !