Page:Feydeau - Le mariage de Barillon, 1890.djvu/149

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Barillon. — Ah ! voilà ce dont je me fiche, par exemple ! Je suis le beau-père, et je refuse mon consentement.

Jambart. — Et moi aussi, je suis le beau-père ! Et depuis plus longtemps que vous !

Madame Jambart. — Ça c’est vrai !

Barillon. — Possible ! Mais tant que je serai le beau-père de Virginie, elle n’en épousera pas d’autre que moi !

Jambart, s’échauffant. — C’est ce que nous verrons.

Barillon, même jeu. — Oui, nous verrons !


Scène IX

Les Mêmes, Planturel, Ursule

Ursule. — Monsieur Planturel !

Barillon. — Vous ?

Planturel. — Oui, moi, qui viens vous apporter une bonne nouvelle.

Tous. — Quelle nouvelle ?