Page:Feydeau - Théâtre complet, volume 2, 1948.djvu/257

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Gentillac. — Eh bien, alors, voilà !

Il s’assied et lui prend les deux mains.

Bamboche. — Dites donc… je ne pensais pas qu’on finirait tous les deux ce soir !

Gentillac. — Non, hein !… ça ne t’ennuie pas ?…

Bamboche. — Oh ! non… seulement… faudra pas le dire à Rigolin…

Gentillac. — T’es bête !…

Il l’attire sur ses genoux.

Bamboche, tapotant avec ses deux mains sur les joues de Gentillac. — Ouh ! coco ! (Puis rejetant sa tête en arrière sur l’épaule de Gentillac avec le ton profond d’un philosophe.) Ah ! c’est drôle, la vie !

RIDEAU