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IRÈNE.
Oui, c’est un secret entre nous.
MARCEL, à Amélie.
Allons, ma petite Amélie, hein ?
AMÉLIE.
Soit, quoi ! Je ferai de mon mieux !
MARCEL.
Ah ! merci, Amélie.
Il lui serre la main et cède la place à Irène en passant au-dessus d’elle.
IRÈNE, serrant la main d’Amélie.
Merci, ma bonne Amélie !
MARCEL, qui est allé à Étienne qui est à l’extrême-droite.
Merci, toi !
ÉTIENNE, maugréant.
« Merci, merci » ! Bien oui, mais… et le mariage ?… Il verra bien qu’il n’y a pas de mariage.
TOUS.
Ah ! oui.
MARCEL.
Tais-toi ! ç’a été ma première crainte ! Dieu merci ! tout va bien. Il part pour deux mois en Amérique ; tu penses si je me suis dépêché de fixer la date de mon prétendu mariage dans le courant de cette période. Alors, il m’a dit : « Écoute, filseke !… » — parce qu’il est