Page:Fiel - Armelle devant son vainqueur, paru dans l'Ouest-Éclair du 3 septembre au 10 octobre 1937.djvu/224

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— Oh ! ma tante…

Armelle et son oncle ne savaient que dire.

Mlle de Saint-Armel continua :

— Ce jeune homme nous vaut sans doute, puisque l’on s’accorde à le déclarer célèbre. Nous le rencontrerons, je le suppose, chez le préfet, ce soir… Mon frère, vous me pardonnerez d’avoir opposé tant de mauvaise volonté à vos vues… Vous agissez, vous, pour la distraction et le bonheur de notre nièce.