étau, la double mèche, et l’éteint instantanément, sans que les vapeurs odorantes puissent se répandre.
H, levier élévateur. — C, extincteur. — JJ′, extincteurs. — K, mèche vue de côté. — E, galerie supportant le verre. — F, galerie supportant le globe. — G, verre bombé.
JJ′, extincteurs levés. — H, élévateur. — L, support d’une mèche pliée en deux, pour faciliter l’ascension du pétrole dans les mèches latérales. — K, mèche plate. — B, clef faisant mouvoir l’élévateur, H. — C, levier à bascule faisant mouvoir l’extincteur.
JJ′, becs vus en plan. — A, clef faisant mouvoir la mèche de gauche par les engrenages M. — A′, clef faisant mouvoir la mèche de droite par les engrenages N′.
La lampe Hinks est portée généralement sur un pied de cuivre assez élevé, et orné d’une manière plus ou moins artistique. Le globe lui-même reçoit diverses formes originales, selon le goût du fabricant.
On voit dans la figure 395 (p. 516), l’ensemble de la lampe Hinks, avec son pied et son globe.
La lampe Hinks était à peine connue en Angleterre qu’elle provoquait diverses imitations, modifications ou perfectionnements, dans l’examen desquels il serait superflu d’entrer ici. ( Contentons-nous de dire qu’à Londres, on fabrique en grand la lampe de M. Messenger, et la lampe de M. Eyered, toutes deux fondées sur les mêmes principes que la lampe Hinks, et qui se vendent en France, comme en Angleterre.
La lampe de M. Hinks, étant formée de la réunion de deux mèches plates, a l’inconvénient inhérent à cette forme de mèche, c’est-à-dire qu’elle n’éclaire bien que par les deux faces et très peu par les deux tranches Une mèche circulaire a seule l’avantage d’éclairer uniformément autour d’elle. La