base philosophique du crâne cérébral, comme la corde de la courbe que décrivent les corps des trois vertèbres crâniennes, comme l’axe autour duquel évoluent d’une part le crâne, de l’autre la face[1]. »
En voici les chiffres :
Mill. | ||
3 | Papous. | 96 |
13 | Malais de Bugi, 2 Lapons, 3 Brésiliens. | 97 |
6 | Juifs. | 98 |
2 | Hongrois, 5 Tsiganes, 6 Malais de Madura,
2 Hottentots. |
99 |
30 | Allemands, 12 Russes, 5 Cosaques, 5 Tartares,
16 Chinois, 2 Mexicains, 20 Nègres. |
100 |
3 | Écossais (highlanders), 5 Baskirs. | 101 |
8 | Français, 6 Hollandais, 6 Malais de Sumatra. | 102 |
9 | Finnois, 7 Malais des Moluques. | 103 |
3 | Australiens, 3 anciens Grecs. | 104 |
11 | Esquimaux. | 106 |
2 | Cafres. | 107 |
Ainsi, parmi ceux dont la ligne naso-basilaire est la plus courte, c’est-à-dire les plus brachycéphales, il faut compter les Papous noirs de l’Océanie, à côté des Birmans de race jaune ; les Hongrois, les Tziganes sont réunis aux Malais et aux Hottentots. Dans la plus remarquable série, on rencontre ensemble : les Allemands, les Russes, les Cosaques, les Tartares, les Chinois, les Mexicains et les Nègres, c’est-à-dire les représentants de toutes les races humaines qui vivent sur la face de la terre, avec la mesure commune de 100 millimètres.
On peut parfaitement négliger les autres mesures cranioscopiques qui ne nous offrent rien de plus concluant
- ↑ Topinard, loco citato, p. 259.