fondés sur l’observation directe de la vie, sur l’éveil de la conscience chez l’enfant, et trouvant d’ailleurs leur meilleure justification littéraire dans l’épanouissement romantique du dix-huitième siècle, reconnaissent, dans la vie émotive, l’assise de toute personnalité, comme le tuf où l’intelligence vient plonger les racines qui fortifieront son développement.
Encore une fois, je prie qu’on ne me fasse pas dépasser ma pensée, dire ce que je n’ai pas voulu dire. Je n’ai voulu que marquer des analogies pour préciser cette pensée. De ce qu’un ouvrage signé d’un nom féminin comme la Maison du Péché, présente, dans l’exécution et dans la conception même, quelques traits communs avec telle œuvre fameuse consacrée par le temps, il n’en faut pas tirer plus de conséquences que cette analogie n’en comporte. Je tiens seulement à souligner les raisons pour quoi Mme Marcelle Tinayre