désolant, c’est de penser que, même réussi dans la perfection, cela ne peut être que passable et ne sera jamais beau, à cause du fond même. Je fais un ouvrage de clown ; mais qu’est-ce qu’un tour de force prouve, après tout ? N’importe : « Aide-toi, le ciel t’aidera ». Pourtant la charrette quelquefois est bien lourde à désembourber.
Adieu, chère bonne Muse. Mille tendres baisers partout. À bientôt les vrais.
Comment vous remercierai-je, Monsieur, de votre magnifique présent ? Et qu’ai-je à dire ? si ce n’est le mot de Talleyrand à Louis-Philippe qui venait le visiter dans son agonie : « C’est le plus grand honneur qu’ait reçu ma maison ! » Mais ici se termine le parallèle, pour toutes sortes de raisons.
Donc, je ne vous cacherai pas, Monsieur, que vous avez fortement
Chatouillé de mon cœur l’orgueilleuse faiblesse
comme eût écrit ce bon Racine ! Honnête poète ! et quelle quantité de monstres il trouverait maintenant à peindre, autres et pires cent fois que son dragon-taureau !
L’exil, du moins, vous en épargne la vue. Ah !