(courrier des théâtres). Cela vient d’eux ! Ils se mordent les pouces et voudraient la crevaison de Latour Saint Ybars.
Je t’embrasse ainsi que ta brave maman.
Il m’est impossible d’aller vous voir aujourd’hui. J’attends d’Osmoy qui doit arriver à 5 heures (d’après son télégramme d’hier). J’ai du côté de l’Odéon des embêtements graves.
Que ferai-je demain ? Je n’en sais rien. Je tâcherai d’aller embrasser notre chère vieille, quand même.
Si tu avais quelque chose de particulier à me mander, envoie-moi un commissionnaire.
Il est probable que je serai chez vous à l’heure du déjeuner (ou pour le déjeuner). Mais j’aime mieux ne pas donner de rendez-vous.
Demain, j’attends Tourgueneff qui doit être arrivé de ce matin à Paris.
Ma Préface, que j’ai retouchée, a fait fondre en larmes E. de Goncourt : il la trouve magnifique. Je l’ai encore retravaillée jusqu’à 3 heures du matin.