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CORRESPONDANCE

1305. À PHILIPPE LEPARFAIT.

Entièrement inédite.

Mardi soir, 6 juin.
Mon cher Philippe,

Vous rappelez-vous (toi et ta mère) quelle était la fin primitive de Dolorès, la façon dont le comte de Roxas revenait au dernier acte ?

J’aurais besoin, là-dessus, de renseignements précis.

Caudron a-t-il encore quelques papiers, ou quelques journaux ? Il me faudrait l’article, ou plutôt les injures de Barbey D’Aurevilly et la copie du volume, mon jeune homme. Il me semble que tu calleuses !

J’espère te voir très prochainement ; viens à 11 heures le jour qu’il te plaira.

À toi.


1306. À PHILIPPE LEPARFAIT.

Entièrement inédite.

Jeudi.

Au lieu, dimanche, de venir ici déjeuner, tu ferais mieux d’y venir dîner. J’aurai Georges Pouchet.

Je travaille le Sexe Faible comme 36 mille nègres. Ma journée d’hier a été de 14 heures.

J’espère avoir fini le 1er  Acte dans une quinzaine.

À toi.