Hallays ne m’ont pas reconnu. L’ombre de Flaubert a proféré quelques sons… confus… et a tout accordé, tout concédé, par lassitude, dégoût, avachissement, et pour en finir. Ah ! c’est une jolie école de démoralisation que le théâtre !
Donc l’affaire de la Censure est terminée.
Je me résume : 1o Il faut que nous nous entendions pour les costumes, ou plutôt parlez-lui, vous-même ; seul, je n’oserais !
2o Tâchons de mettre en scène la fin du IIIe acte, telle qu’elle est.
3o Faites vos efforts pour venir demain, dimanche.
Il est temps d’aller se coucher, je crève.
À vous, mon bon (quoique — ou plutôt parce que — vous me faites subir de rudes étamines).
Votre.
Je me recommande toujours à Mme Carvalho.
Vous êtes beau comme un ange !!!
J’ai reçu ce soir la fin des premières épreuves de Saint Antoine.
Faites-moi le plaisir (si vous n’avez rien de mieux à faire), de venir aujourd’hui dimanche chez moi. Je vous attendrai jusqu’à 6 heures du soir et nous règlerons tout. J’ai à moi tout l’après-midi, et