Et on a fait des articles sur mes domiciles, sur mes pantoufles et sur mon chien. Les chroniqueurs ont décrit mon appartement où ils ont vu, « aux murs, des tableaux et des bronzes ». Or, il n’y a rien du tout sur mes murs. Je sais qu’un critique a été indigné que je ne lui aie pas fait de visite ; et un intermédiaire est venu me le dire ce matin en ajoutant : « Que voulez-vous que je lui réponde ? —… — Mais MM. Dumas, Sardou et même Victor Hugo ne sont pas comme vous. — Oh ! je le sais bien. — Alors, ne vous étonnez pas, etc. »
Adieu, chère bon maître adorée, amitiés aux vôtres. Baisers aux chères petites, et à vous toutes mes tendresses.
P.-S. — Pourriez-vous me donner une copie ou l’original de la biographie de Cruchard ? Je n’ai aucun brouillon et j’ai envie de la relire pour me retremper dans mon idéal.
Vous m’avez rendu un tel service en me rappelant à l’orgueil, que je ne sais comment vous exprimer ma reconnaissance. Mais voici deux anecdotes qui vous feront plaisir :
1o Heugel, un des administrateurs du Vaudeville, m’a sifflé ! à ce que soutient Peragallo.