Il venait d’en partir, avec sa dame de compagnie, qui a été un sujet d’épatement pour les bourgeoises de la localité.
Comment allez-vous ? Vous seriez bien bonne de m’envoyer un peu de votre inqualifiable et chère écriture. Très prochainement du reste, j’irai peut-être un soir vous demander à dîner, car il faudra que j’aille bientôt à Paris pour mes affaires théâtrales. Je serai payé du dérangement par le plaisir de vous voir.
En vous baisant les deux mains, Princesse, je suis votre vieux dévoué.
Quel beau temps ! ma chérie. Quel calme autour de moi, et quelle solitude ! Il faut être parfois robuste pour l’endurer. Mais enfin aucun bourgeois ne m’embête par ses discours ou le spectacle de sa personne ! C’est l’important. N’importe ! il y a des moments où le cœur s’ennuie.
Bouvard et Pécuchet continuent leur petit chemin. J’espère avoir fini le premier mouvement du premier chapitre dans quatre ou cinq jours ; ce sera toujours cela de fait ! Mais la mise en train est bien difficile…
Le bon Laporte est venu avant-hier m’inviter pour jeudi prochain à déjeuner ou à dîner. Cette question n’est pas encore réglée.
Julio s’est uni morganatiquement à une jeune