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Page:Flaubert Édition Conard Correspondance 7.djvu/221

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DE GUSTAVE FLAUBERT.

1507. À GEORGES CHARPENTIER.
Croisset, dimanche [25 ? octobre 1874].
Mon cher Ami,

J’en étais sûr ! moi qui connais les hommes !

Voici ce que j’ai envie de faire :

Quand je serai revenu à Paris, j’irai lui[1] demander mon tas de journaux et lui parlerai de ce qu’il m’avait promis, carrément, sans ambages, ni circonlocutions.

Quand sera-ce ? Mon départ dépend de la première de Zola. Son inquiétude m’inquiète. Il me semble pourtant que les acteurs qui jouaient dans les Bêtes noires du Capitaine étaient suffisants. Quand vous verrez le dit Zola, priez-le de m’écrire, s’il a le temps. Je voudrais bien savoir à peu près l’époque de sa première.

À vous, mon bon, et à toute la smalah.

Tendrement vôtre.

Je pioche d’une façon gigantesque.


1508. À ÉMILE ZOLA.
[Croisset], mercredi, 5 heures [28 octobre 1874].

Votre lettre m’est arrivée ce matin, comme j’allais partir.

Vous ne serez pas joué avant mercredi, sans

  1. À Renan.