entière tienne dans un seul volume. Envoyez-moi un spécimen.
Et donnez-moi de vos nouvelles, de vous et des vôtres.
Et ne vous endormez pas dans les délices de Dieppe. Prenez garde au soleil !
Je vous embrasse.
Quand faut-il compter sur votre visite ?
Entièrement inédite.
Je comptais sur ta visite aujourd’hui et suis fâché de ne pas te voir. Celle de jeudi ne compte pas : elle était trop courte.
Lemerre m’a écrit avant-hier qu’immédiatement après Salammbô (qu’il est en train d’imprimer) il va se mettre aux Poésies complètes de L. Bouilhet ; donc, que je lui envoie « Festons et Astragales, Mélaenis et Dernières Chansons ». Je ne possède ces trois volumes que reliés ; ils seraient perdus et d’ailleurs gêneraient les imprimeurs.
Peux-tu, toi, les envoyer illico à Lemerre, ou prier Billard de se charger de la commission ? Cela est urgent.
Envoie-moi cinq litres d’eau-de-vie comme celle de la dernière fois.
2o Quatre de Bourgogne, à ton choix,