Aller au contenu

Page:Flaubert Édition Conard Correspondance 8.djvu/294

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
288
CORRESPONDANCE

Eh bien ! et ces épreuves ? Je vous affirme que vous devenez intolérable.


1873. À MADAME GEORGES CHARPENTIER.
Mercredi, 4 h. [Croisset, 20 août 1879].
Chère Madame,

Je reçois à l’instant une lettre de votre légitime où, après avoir reconnu ses méfaits à mon endroit, il m’annonce votre visite collective pour la semaine prochaine.

Entendez-vous avec lui pour que ce soit dimanche, lundi ou mardi prochain, parce que mercredi je m’absente de Croisset jusqu’au milieu de septembre.

Je vous attends trétous pour déjeuner un des jours indiqués et, dans l’espoir d’une prompte réponse, je vous baise les deux mains.

Votre très affectionné.


1874. À MADAME GEORGES CHARPENTIER.
[Août 1879, entre le 20 et le 28].
Chère Madame,

Nous vous attendons mardi à 11 heures et demie, puisque vous arriverez à Rouen à 11 heures.

À cette heure-là il n’y a point de bateau pour Croisset. Le premier fiacre venu que vous trouverez à la gare vous y mènera.