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DE GUSTAVE FLAUBERT.

Princesse, à l’inaltérable affection de votre vieux fidèle.


1901. À GEORGES CHARPENTIER.
Mercredi soir [octobre 1879].

Sauf meilleur avis, je ne vois rien à reprendre à la page ci-contre.

N. B. — Mais il me reste à corriger en dernière épreuve plusieurs pages qu’on ne me renvoie pas.

Admirer, dans le volume de Huysmans, (Marthe)[1] une illustration qui est un comble !

Si c’est là du naturalisme, ou est le fantastique ?

À vous, mon bon.

Vôtre.


1902. À ALPHONSE DAUDET.
Croisset, par Deville, près Rouen, mardi 21 octobre 1879.
Mon cher Daudet,

Votre volume[2], reçu a dix heures du matin, était avalé à quatre et demie du soir.

Il ne dépare pas la collection. Oh ! non ! Sacré nom de Dieu, comme c’est bien composé ! et que le dernier chapitre (lequel, en soi, est sublime) se relie bien au premier ! Votre Christian est une de vos meilleures créations (c’est ça ! bravo mon vieux !) Soyez sûr qu’il restera comme un type !

  1. Frontispice à l’eau-forte de Forain.
  2. Les Rois en exil.