aux moelles. Je n’écris que pour les esprits comme le vôtre ; me voilà donc payé.
Une forte poignée de main et
Tout à vous.
Voulez-vous, afin d’entendre le 1er chapitre de Bouvard et Pécuchet, venir dîner vendredi à 6 h. ½ chez votre.
Entièrement inédite.
Nous n’avons pas réglé la question des traductions ! M’appartiennent-elles ?
Un certain M. Bonnet me demande à faire une traduction allemande. C’est un ancien professeur d’allemand au lycée Monge. Que dois-je lui répondre ? Nous n’avons rien réglé là-dessus.
Voilà trois jours que je vais à la Bibliothèque nationale ; aucun étalagiste du Palais-Royal n’a mon volume. Pourquoi ? Et il n’en restait plus à la librairie nouvelle hier soir.
Tout à vous.
Vous devriez avoir pitié de moi, qui suis sur-