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Page:Flaubert Édition Conard Correspondance 8.djvu/42

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CORRESPONDANCE

1668. AU MÊME.
[Paris] dimanche soir, 9 h. [mai 1877].
Mon cher Ami,

La politique nous tourneboule tellement que vous avez oublié de me demander la note pour Berlin ; et moi, j’ai oublié de vous la donner.

La voici, fort incomplète. Elle serait meilleure si j’étais à Croisset, où je pourrais feuilleter mes archives.

N’importe ! envoyez-la telle qu’elle est. Si le brave Berlinois en veut plus, qu’il le dise. Dans quinze jours je serai en mesure de lui en fournir davantage.

À dimanche prochain, et tout à vous. Votre

[Note jointe à cette lettre].
Pour la bibliographie.

Voyez la préface de la traduction allemande de la Tentation de Saint Antoine par M. Engelbert ? ou Engelraht ? professeur de philosophie à Strasbourg, rue du Dôme, 1 (je crois être sûr de l’adresse), traduction parue dans l’été de 1874.

Critiques :

Sur Madame Bovary, article de Sainte-Beuve, dans le Moniteur universel, mai (ou avril) 1858 [sic, pour 1857][1].

Article de Cuvillier-Fleury dans les Débats[2].

  1. Le Moniteur universel, 4 mai 1857 ; reproduit dans les Causeries du lundi, XIII, page 279-283.
  2. Journal des Débats, 26 mai 1857 ; reproduit dans Dernières études historiques et littéraires, I, page 352-366.