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DE GUSTAVE FLAUBERT.

1672. À GEORGES CHARPENTIER.
Mercredi matin [Paris, mai 1877].
Mon cher Ami,

Mettez-moi de côté les articles sur les Trois Contes ; j’en fais collection. Puis, quand vous en aurez une jolie provision, envoyez-les moi à Croisset.

Quand vous ferez un nouveau tirage, prévenez-moi. Je vous indiquerai quelques petites corrections. Nous n’en sommes pas là, malheureusement. Cependant on m’a dit hier à la Librairie nouvelle qu’on en revendait un peu, cinq ou six par jour.

Pensez-vous à l’édition de luxe pour Saint Julien, avec polychromie ?

Donnez-moi quelquefois de vos nouvelles, des vôtres et de celles de « toute la petite famille ». Au revoir et tout à vous.


1673. À GEORGES CHARPENTIER.
Mardi soir [Paris, 29 mai 1877].

J’attends toujours (et cela depuis trois semaines) les articles, entre autres celui de Valry.

Envoyez-moi cette semaine 6 exemplaires des Trois Contes, afin que je les remporte à Croisset, où je voudrais être, car je commence à être tanné de Paris.