Page:Flaubert - L’Éducation sentimentale (1891).djvu/209

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bougeoir. Frédéric se maudit pour sa sottise, et lui représenta qu’il devait, par décence, rester ce soir auprès de sa femme. Il ne pouvait l’abandonner, ce serait très mal.

— « Franchement, vous auriez tort ! Rien ne presse, là-bas ! Vous irez demain ! Voyons ! faites cela pour moi. »

Arnoux déposa son bougeoir, et lui dit, en l’embrassant :

— « Vous êtes bon, vous ! »