Page:Flaubert - Madame Bovary, Conard, 1910.djvu/603

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elle les peint sans frein, sans mesure. L’art sans règle n’est plus l’art ; c’est comme une femme qui quitterait tout vêtement. Imposer à l’art l’unique règle de la décence publique, ce n’est pas l’asservir, mais l’honorer. On ne grandit qu’avec une règle. Voilà messieurs, les principes que nous professons, voilà une doctrine que nous défendons avec conscience.