Aller au contenu

Page:Flaubert - Salammbô.djvu/110

La bibliothèque libre.
Cette page a été validée par deux contributeurs.

L’étoffe, soutenue par le vent de la mer, resplendissait au soleil avec ses couleurs, ses pierreries et la figure de ses dieux. Mâtho, le portant ainsi, traversa toute la plaine jusqu’aux tentes des soldats, et le peuple, sur les murs, regardait s’en aller la fortune de Carthage.