Page:Flaugergues - Au bord du Tage, 1841.djvu/35

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— 26— Soupire une voix étrangère ; Que pour vous une humble prière Au ciel montera chaque jour. Mais quand brilleront les étoiles, Si parfois, dans les blanches voiles, Vous entendez un léger bruit, Dites : " Son ombre gémissante, " Comme une brise caressante , » Est là qui m’appelle et me suit » Belem, 1837.