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AU BORD DU TAGE, PAR M"e PAULINE DE FLAUGERGUES. Qu’importequetoujoursle cielbrille en ceslieux ? Qu’auxfeus d’un soleilpur chaquesaisonrenaisse ? Pourl’âmequ’àtoute heureun lonêchagrinoppresse. Tout est froid, tout est mort, tout est silencieux. I.EFOTERi :TGI.T. PARIS. OLIVIER-FULGENCE, ÉDITEUR-LIBRAIRE, RUE CASSETTE, N. 8. 1841.