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Page:Flaugergues - Les Bruyères, 1854.djvu/24

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SOUVENIRS DE LA PATRIE.


À BORD DE LA ROSE DU TAGE.
« Vois ! c’est le Tage. »
Ont dit les matelots,
« Un doux rivage
« Enserre ses doux flots,
« O fille de la lyre,
« Que ce beau lieu t’inspire ! »
—Hélas ! Je dis :
Je rêve a mon pays.