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Page:Fleischmann - Le Rival de Sherlock Holmes.djvu/120

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CHAPITRE XII

Les petits oiseaux de William Hopkins ne chantent pas leur air et l’électrocuté de Baltimore tient sa promesse.



C’est le cœur déchiré, me reprochant mon peu d’amitié, que j’écris cette dernière page à la mémoire de mon ami, William Hopkins, le rival de Sherlock Holmès. Le sombre pressentiment qui, le 20 octobre, m’agita se trouva confirmé le lendemain.

Qu’arriva-t-il ? Que se passa-t-il ?

Jamais personne ne le sut, jamais personne ne le saura.

Mais voici les faits :

Toute la journée, fidèle à la détestable promesse faite à William Hopkins, je restai dans ma chambre, l’oreille aux écoutes, guettant les