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en certains points. À plusieurs reprises elle reprend ce sujet des mœurs viennoises. Dans une de ses premières notes elle observe :
{{taille|La grande noblesse viennoise, c’est-à-dire les hommes, est la plus dissolue qui existe. Le prince Estherhazy, capitaine des gardes, a des maîtresses par centaines ; il fait publiquement élever des jeunes filles pour son harem, et il continue à jouir des faveurs de la cour ! Le prince de Kaunitz[1], ambassadeur d’Autriche à
- ↑ Il était de cette illustre famille de Kaunitz dont un membre fut, sous Marie-Thérèse, un des plus célèbres et plus fins chanceliers d’Autriche.