{{taille|Au deuxième paragraphe de cette troisième partie de notre livre, nous avons cité la brève ligne d’un témoignage anonyme, mais contemporain, sur le goût du duc de Reichstadt pour les plaisirs du monde. Comme nous l’avons indiqué, cette ligne est extraite d’une lettre de Vienne adressée, le 23 juillet 1832, au journal le Temps. Il n’est pas superflu de la rééditer ici et de la tirer du recueil oublié où elle dort. Sur les derniers mois de la vie du prisonnier elle apporte des renseignements qui ne sont pas négligeables. L’éditeur la faisait précéder de cette note qui en éclaire la publication : « À propos de Napoléon, imprimait, le 3 juillet 1832, le Temps, son malheureux fils se meurt décidément : le duc de Reichstadt est attaqué d’une phtisie pulmonaire qui le détruit lentement. » Et, le 14 juillet suivant, le même journal consacrait à la maladie du duc de Reichstadt un long article circonstancié, dont s’émurent quelques Autrichiens. « Que si le poison n’est pour
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