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HUBERT
Vous avez eu tort !
PARMELINE
Pourquoi ?… Je suis très heureux ici. Je vis d’une façon très large, très agréable… J’ai tout ce qu’il me faut… je n’ai besoin de rien… ni de personne… je ne vois pas pourquoi j’irais m’éreinter à jouer chez des nègres… (Hubert lui tend le chèque.) Et maintenant, comme un service en vaut un autre, j’arrive à l’objet de cet entretien.
HUBERT
Oh !… Eh bien ?
PARMELINE
Mon cher ami, il est des sujets que deux hommes d’honneur tels que nous, ne peuvent qu’effleurer. Il faut en parler comme d’une aile de papillon. Comprenez-moi à demi-mot. J’ai été autrefois l’amant de la duchesse et elle est aujourd’hui votre maîtresse…
HUBERT, vivement.
Monsieur !…
PARMELINE
Chut !… Toute allusion plus directe serait