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Page:Flers - L’Habit vert, 1913.djvu/69

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PARMELINE

Je suis confus… Merci… de tout cœur, merci.

HUBERT

Du tout, du tout… Et maintenant, je me retire.

PARMELINE

Non, non. Prenez la peine de vous asseoir.

HUBERT

Mais…

PARMELINE

Mais si… mais si… madame la duchesse ne vous le pardonnerait pas.

Il le fait asseoir.
HUBERT

Mon Dieu, je vous l’avoue… je suis un peu timide…

LA DUCHESSE,, à part, indignée.

Oh !

PARMELINE

Moi aussi, je suis toujours gêné quand j’entre dans un salon.