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Page:Flers - L’Habit vert, 1913.djvu/99

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LE GÉNÉRAL

Parfait !

Pendant ces répliques, Parmeline et Hubert sont entrés et ont serré la main de Durand.
LA DUCHESSE

Mais je veux vous introduire, monsieur le général de l’Académie… Monsieur Parmeline…

LE GÉNÉRAL, lui serrant la main.

Je connais de nom… l’illustre maestro…

PARMELINE

Illustre ! Pourquoi cette restriction ?

LE GÉNÉRAL

Quoi…

PARMELINE

Je vois… vous n’aimez pas ce que je fais…

Il s’éloigne et va serrer la main à Durand.
LE GÉNÉRAL, à part.

J’ai horreur des musiciens !

LA DUCHESSE, qui est allée chercher Hubert.

Maintenant, le général, voici M. Hubert de Latour-Latour… depuis hier membre du Jockey-Club…