Page:Flor O’Squarr - Les Coulisses de l’anarchie.djvu/387

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.


NOTE


En causant avec nous de l’incident que nous rapportons, pages 81 à 86, au cours du chapitre consacré à la presse révolutionnaire, M. le marquis de Morès nous a affirmé que ses pourparlers avec les anarchistes ont été ouverts, non en vue de la Libre Parole, mais dans le but de grouper toutes les forces socialistes pour la rédaction d’un autre journal qu’il songeait à fonder.

Nous lui donnons acte de cette déclaration.

F. o’ S.