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IV.

BATAILLE DE CANGALLO.


Le mardi 1er avril, nous sortîmes de Santa-Cathalina : ma tante, inquiète de son mari, de son ménage, et ne pouvant tenir à son impatience, avait voulu rentrer chez elle. D’ailleurs tout le monde disait que San-Roman, effrayé du nombre et de la bonne tenue des troupes de Nieto, n’oserait point approcher, et qu’il res-