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Page:Flora Tristan - Peregrinations d une paria, 1838, II.djvu/42

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me transportait dans des régions supérieures, d’où je pouvais apercevoir les choses de la terre sous leur véritable aspect, dépouillées du prestige trompeur dont les passions des hommes les revêtent. Jamais à aucune époque de ma vie je n’ai été plus calme : si j’avais pu vivre dans la solitude avec des livres et des fleurs, mon bonheur eut été complet.