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vous qui sans esprit plairiez par
vos attraits,
Et de qui l’esprit seul suffirait
pour séduire,
Vous qui du blond Phébus savez toucher la lyre,
Et de l’Amour lancer les traits,
Toute louable que vous êtes,
Je ne vous louerai point ; allez, rassurez-vous ;
Ce serait vous mettre en courroux,
Je le sais. Cependant les belles, les poëtes
Aiment assez l’encens ; vous êtes tout cela,
Et vous ne l’aimez point ; j’en resterai donc là ;