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ÉPILOGUE.


C

’est assez, suspendons ma lyre,

Terminons ici mes travaux ;
Sur nos vices, sur nos défauts,
’est assez, suspendons ma lyre,J’aurais encor beaucoup à dire ;
Mais un autre le dira mieux.
Malgré ses efforts plus heureux,
L’orgueil, l’intérêt, la folie,
Troubleront toujours l’univers ;
Vainement la philosophie
Reproche à l’homme ses travers,
Elle y perd sa prose et ses vers.
Laissons, laissons aller le monde
Comme il lui plaît, comme il l’entend,
Vivons caché, libre et content,