Page:Fludd - Traité d'astrologie générale, trad Piobb, 1907.djvu/141

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leil et qu’il a par conséquent, deux parties de Chaud et deux parties de Sec, ces dernières provenant : une du Soleil et l’autre de Saturne. Enfin, nous avons fait ressortir, au Livre III du même traité, les raisons des natures bénéfiques ou maléfiques des planètes.

Il ne nous reste plus maintenant qu’à étudier ici les influx planétaires qui constituent les éléments des jugements astrologiques et qui doivent être étudiées avant tout :

Les planètes se divisent en :

Bénéfiques : Vénus,
Jupiter.
Ainsi nommées parce qu’elles ne nuisent jamais à personne, mais préservent au contraire du mal.
Maléfiques : Saturne,
Mars.
Ainsi nommées parce qu’elles n’apportent jamais de bien à personne, mais au contraire éloignent le bien éventuel.
Médiocres : Soleil,
Mercure,
Lune.
Ainsi nommées parce qu’elles sont en général bénéfiques avec les bénéfiques et maléfiques avec les maléfiques[1].
  1. La pratique démontrera que cette classification des planètes en bénéfiques, maléfiques et médiocres n’a rien d’absolu.