Page:Fludd - Traité d'astrologie générale, trad Piobb, 1907.djvu/60

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On peut envisager chaque signe, soit en lui-même comme un lieu quelconque du ciel, soit comme une portion de la zone zodiacale ayant 30° de long et 12° de large, soit comme une section de la circonférence zodiacale comprenant 30° de longitude de l’écliptique et n’ayant pas de latitude, soit encore comme une tranche en forme de pyramide de la sphère céleste dont le sommet est le pôle de l’écliptique et dont un côté a 30° de longitude[1]. Les longitudes sont australes ou boréales. On peut aussi considérer le signe comme une réunion d’étoiles fixes représentant la figure d’où il tire son nom : tel le Bélier qui est ainsi appelé parce que diverses étoiles, par leur rassemblement, constituent la représentation d’un bélier.

  1. La base de cette pyramide sphérique serait le triangle formé par deux droites partant de chacune des extrémités du signe compté sur l’écliptique et se joignant au centre de la Terre.