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PRÉFACE



À l’heure où le domaine de la Science paraît s’élargir, où le positiviste commence à comprendre que la réalité existe peut-être aussi dans maint fait que jusqu’ici il avait considéré comme mystérieux, surnaturel et indigne par conséquent de considération, à l’heure où, par la découverte à jamais mémorable de la radio-activité, le matérialiste voit ses idées sur la matière légèrement bouleversées, où enfin le rationaliste est obligé d’admettre que les alchimistes du vieux-temps n’étaient pas autant à mépriser qu’on a bien voulu le dire, à l’orée de ce vingtième siècle qui sera certainement encore plus fécond en trouvailles que le dix-neuvième, le nom glorieux de Robert Fludd doit être remis en lumière.

Robert Fludd, par son savoir, par son esprit froid et positif, par sa pensée libérée de toute