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Page:Fontanges - Délicieuses voluptés, 1935.djvu/111

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son oncle Gaston.

— Dis, Colette, c’était dans une bibliothèque comme celle-ci ?…

— Oh ! non, chérie mignonne, elle était bien plus grande…

Et les deux jeunes filles de rire, sans que Roger en comprît la raison…

En parcourant les rayons chargés de vieux livres, Colette de Verneuse se demandait comment elle allait s’y prendre pour se livrer à quelques ébats libertins et s’amuser aux dépens de Roger, en l’excitant. Car, c’était le but que se proposait la jeune lesbienne : Affoler complètement le jeune homme en plein éveil sexuel, jouir voluptueusement de ce qu’il s’en suivrait, et si possible, manœuvrer de telle sorte que le jeune de Huchetelles et la douce Jacqueli-