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Page:Fontanges - Délicieuses voluptés, 1935.djvu/152

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l’ardeur du jeune homme, et c’est avec une passion renouvelée qu’il s’insinua entre les jambes de son initiatrice.

Très longuement, il la baisa et la caressa. Colette ne cessait de lui dire de très douces choses qu’il pouvait entendre entre deux cris de plaisir. Puis, il la sentit frémir toute sous sa langue inlassable, et soudain, poussant un sourd gémissement, elle l’écarta et resta étendue, plongée dans une voluptueuse ivresse.

Roger continuait à doucement la baiser ça et là, attardant ses lèvres sur sa chair très douce. Elle ouvrit alors les yeux, et elle le regarda avec une expression indéfinissable.

Il se coucha près d’elle, et ils se baisèrent encore longuement sur