Page:Forneret - Pièce de pièces, temps perdu, 1840.djvu/27

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une rangée de corps sans tête qui pourtant ont l’air de tirer une langue dans une bouche sans dents.

J’arrive à une voûte où des étoiles se jouent et s’entrechoquent comme du verre qui se casse.

Et j’entends

Du fer frapper sur du bois à coups non mesurés comme le remuement du tonnerre.

Et je vois

De grandes choses pendues s’agitant et qui ressemblaient à des peaux humaines.

Et je sens

Une odeur qui m’étouffe…

Pourtant je reprends souffle et je recommence à voir.