Page:Forneret - Vapeurs, ni vers, ni prose, 1838.djvu/138

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Il l’a baissée
Et après l’a croisée
Sur l’horloge du corps,
Qui rendait, mal montée,
De mats et lourds accords.

Il l’a palpée
D’une main décidée
À la faire mourir.
— Oui, c’est une bouchée
Dont on peut se nourrir.

Il l’a pliée,
Il l’a cassée,