d’elles-mêmes par usure dans les murs, les cuirs, les étoffes, etc. Ne se dit pas des gerçures de la peau, ni des crevasses qui se produisent dans le sol ‖ diffère de souret (Ta. 2) « fendre (faire une fente dans ; faire des fentes dans ; fendre en long (séparer en 2 parties (ou en plusieurs parties) dans le sens de la longueur)) », qui peut avoir pour rég. dir. une ch. qlconque et se dit des fentes de toute espèce produites par n’importe quelle cause. On peut touj. remplacer eftek par souret (Ta. 2), mais non inversement ‖ v. ⴼⵍⵂ efleh.
— seftek ⵙⴼⵜⴾ va. f. 1 ; conj. 150 « seksen » ; (issĕftek, iessîftek, éd iseftek, our isseftek) ‖ faire fendre ‖ se c. av. 2 acc.
—
neftek ⵏⴼⵜⴾ vn. f. 4 ; conj. 99 « bereġ » ; (innĕftek, iennîftek, éd
ienneftek, our inneftek) ‖ se fendre réc. l’un l’autre (se faire
réc. une fente (ou des fentes) l’un à l’autre) (le suj. étant des p.
ou des an.) ‖ ne se dit que des p. des fentes qui se font des fentes au
corps l’une de l’autre avec des armes ou des instruments, et des an.
qui se font des fentes au corps l’un de l’autre avec leurs cornes.
— fâttek ⴼⵜⴾ va. f. 5 ; conj. 220 « kâssen » ; (ifâttek, our ifettek) ‖ fendre hab. ‖ a aussi les s. pas. et pron.
— sâftâk ⵙⴼⵜⴾ va. f. 1.7 ; conj. 230 « târeġâh » ; (isâftâk, our iseftik) ‖ faire hab. fendre ‖ se c. av. 2 acc.
— tâneftâk ⵜⵏⴼⵜⴾ vn. f. 4.7 ; conj. 230 « târeġâh » ; (itâneftâk, our iteneftik) ‖ se fendre hab. réc. l’un l’autre.
— ăfatak ⴼⵜⴾ sm. nv. prim. ; φ (pl. ifetâken ⴼⵜⴾⵏ), daṛ fetâken ‖ fait de fendre ‖ a aussi les s. pas. et pron. « fait d’être fendu » et « fait de se fendre ».
— ăseftek ⵙⴼⵜⴾ sm. nv. f. 1 ; φ (pl. iseftîken ⵙⴼⵜⴾⵏ), daṛ seftîken ‖ fait de faire fendre.
— ăneftek ⵏⴼⵜⴾ sm. nv. f. 4 ; φ (pl. ineftîken ⵏⴼⵜⴾⵏ), daṛ neftîken ‖ fait de se fendre réc. l’un l’autre.
—
ăneftouk ⵏⴼⵜⴾ sm. φ (pl. ineftoûken ⵏⴼⵜⴾⵏ), daṛ neftoûken ‖
fente (petite ouverture en long) (naturelle, ou accidentelle) [dans la
peau d’une p., la peau d’un an., une ch.] artificielle, ou accidentelle)
[dans la peau d’une p., la peau d’un an., une ch.] ‖ se dit des fentes de
toute dimension faites, naturelles, artificielles, ou accidentelles, p. ex. de
celles qu’on qui se trouvent au milieu de la peau d’une p. ou d’un an.,
dans d’un mur, de bois, d’os, de cuir, d’un mur, d’un bois, d’un os,
d’un cuir, d’une étoffe, d’un papier, etc., qu’elles existent naturellement, qu’elles aient été pratiquées avec un couteau, un instrument
ou un objet qlconque, ou avec la main par déchirement, ou qu’elles
se soient produites par usure. Ne se dit ni des gerçures de la peau,