qu’avec retenue, m’a été témoigné par elle. C’est ainsi que
« Elle s’est écriée sans raison : Mon pied est blessé par une pointe de l’herbe darbha ! Puis elle s’est arrêtée, la jeune fille ; et, après avoir fait de nouveau quelques pas, elle est restée le visage tourné de mon côté, tandis qu’elle dégageait son vêtement d’écorce, quoiqu’il ne fût nullement embarrassé dans les branches des arbres. »
mâdhavya. Alors, munissez-vous de provisions de voyage ; car vous avez fait un jardin de plaisance du bois consacré aux mortifications, à ce que je vois.
le roi. Ami, je suis connu de quelques-uns des anachorètes ; avise donc quelque prétexte à l’aide duquel nous retournerons à l’ermitage.
mâdhavya. Quel besoin avez-vous d’un prétexte ; n’êtes-vous pas le roi ?
le roi. Eh bien ?
mâdhavya. Que les ermites nous offrent la sixième partie de (leur) riz.
le roi. Fou, ces anachorètes m’offrent un autre tribut, qu’on recevrait avec joie en laissant de côté des monceaux de joyaux ; vois :
« Le tribut qui vient des quatre castes est périssable ; tandis que les ascètes nous