Page:Foucher - La Vie du Bouddha, 1949.djvu/46

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prendre pour enlever aux fidèles un dernier scrupule, c’est de les avertir qu’en jaillissant ainsi de la hanche droite de sa mère le divin enfant ne l’a aucunement blessée ; et en effet on prend bien soin de nous dire que cette sorte d’opération césarienne spontanée n’avait pas même laissé la moindre cicatrice apparente. De toute nécessité il fallait que la naissance du Bouddha eût été extrahumaine ; elle se devait pourtant de n’en pas devenir inhumaine.