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| Troisième partie. | |
| Où l'on fait voir que la maniere de Philosopher des Academiciens est la plus conforme au bon sens. | |
| Article 1. Que les Loix des Academiciens sont de bons sens. Explication de ces Loix, avec la réponse à quelques objections | 76 |
| Article 2. De l'un des principaux axiomes des Academiciens touchant la connoissance des sens | 86 |
| Section premiere, Ce que les Academiciens ont entendu par cette proposition, toutes choses sont incomprehensibles | 91 |
| Section seconde, Que Monsieur Descartes n'est pas le premier qui ait reconnu les erreurs des sens, touchant les qualitez sensibles | 95 |
| Article 3. De cet axiome des Academiciens, le Sage ne se conduira point par opinion | 102 |
| Article 4. De cet autre axiome des Academiciens. Les mots ne donnent pas les idées, mais ils les supposent | 107 |
| Art. 5. De l'origine de la Philosophie de M. Descartes. Qu'il s'est fondé sur le principe des Academciens: Et que, s'il est tombé ensuite en quelques prejugez, cela ne vient que de ce qu'il a suivi en |
